Gwendolyn est une jeune londonienne ordinaire. Un jour, alors qu’elle rentre du lycée, elle est soudainement transportée en 1900 par une force inconnue. De retour dans le présent, elle est approchée par une société secrète qui la surveille depuis sa naissance. Elle est en fait la dernière voyageuse, le Rubis. Aux côtés de son charmant partenaire Gideon de Villliers, elle devra voyager à travers les âges pour accomplir de mystérieuses missions…
Ce que j’en pense :
Deux premiers volets de la Trilogie des gemmes (Edelstein Trilogie), ces deux films allemands, interprétés en allemeand et adaptés de bouquins écrits par la toute aussi allemande Kerstin Gier, se situent... à Londres. Concrètement cela donne des protagonistes qui lisent en allemand des textes écrits en anglais, avec traduction instantanée, normal. J’imagine que cela facilitera l’export dans les pays anglophones. Ce détail amusant mis à part, je dois bien avouer que je me suis rapidement pris au jeu, suivant avec intérêt les aventures de Gwendolyn et Gideon (rien à voir avec le clan McPicsou, quoi que). La romance qui sert de film conducteur est un peu facile, mais efficace et finalement assez représentative des préoccupations de deux adolescents typiques, ce qui pourra contribuer à la crédibilité des personnages. Comme c’est bien souvent le cas dans ce type de film, on déplorera que seule la personnalité du couple soit vraiment exploitée, au détriment des autres protagonistes. Globalement, l’histoire est bien trouvée, les décors et costumes sont très appréciables et on ne s’ennuie pas. Au terme de ses deux visionnages, je me suis d’ailleurs sentie très frustrée d’apprendre que Vert Emeraude (Smaragdgrün) ne viendra pas clôturer la série avant 2016 (plan B: gagner un peu de temps sur la traduction en se remettant intensivement à l’allemand - c’est pas gagné).
Conclusion :
Il va falloir s’armer de patience pour enfin avoir le fin mot de cette sympathique histoire.
A voir si vous voulez en savoir plus sur :
les cabines téléphoniques
les observatoires
la gueule de bois
l’art du petit doigt levé
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