18 janvier 2013

Felix J. Palma : La carte du temps

Ce que l’éditeur nous dit :
À Londres, en 1896, l’agence de voyages dans le temps Murray propose au public « las de voyager dans l’espace » de voyager « dans la quatrième dimension », précisément en l’an 2000. L’écrivain H. G. Wells, auteur de La Machine à remonter le temps, doute pourtant de la réalité d’un tel voyage, car il pense qu’on ne peut pas changer le passé. Andrew Harrington, jeune homme de bonne famille éperdument amoureux de Marie Kelly, la dernière prostituée assassinée par le sinistre Jack l’Éventreur, voit là une façon d’éviter ce crime odieux et se lance dans l’aventure, tandis que la jeune Claire se rêve un avenir passionné et échange de son côté une correspondance avec Derek, un homme du XXe siècle...

Ce que j’en pense :
J’ai eu vrai coup de coeur pour ce livre, un coup foudre même. Il m’a plu dès le premier regard. Plutôt fervente des emprunts à la bibliothèque, j’ai exceptionnellement craqué et l’ai mis dans mon papier sur le bon fondement d’une jolie couverture et d’un papier au touché agréable. De plus le thème avait l’air très sympathique. Dommage que la magie se soit envolée lorsque j’ai découvert le contenu.
Commençons l’écriture: pourtant pas mauvaise, loin de là, elle systématiquement provoqué chez moi d'irrépressibles bâillements. Il a fallu un grand acharnement pour passer outre cette contrainte. La faute à la traduction peut être.
J’ai trouvé le contenu quant à lui très inégal selon les moments. Rendre hommage à d’autres auteurs, c’est bien. Utiliser 10 pages pour faire synthétiser l’ouvrage de l’un d’entre eux de A à Z, cela commence à sentir le plagia et/ou le manque d’idées. Et puis j’avais déjà lu La Machine à explorer le temps, merci. Le récit en lui même s’est trouvé être très intéressante par moment, beaucoup moins à d’autres.
Mais ce qui a définitivement réduit à néant toute envie de poursuivre fut la fin de la première histoire. Vraiment exécrable. Elle gâche tout, laissant présager de semblables chutes pour les deux histoires suivantes. J’ai bien essayé de commencé la suivante, mais impossible, je n’y croyais plus. J’ai finis pas abandonner, presque avec soulagement.

Conclusion :
J’ai pourtant vraiment essayé.

A lire si vous voulez en savoir plus sur :
- les arnaques
- les entourloupes
- l’ennui





1 commentaire:

  1. Comme toi je l'ai trouvé très joli, par contre je n'ai pas craqué ! Je vois que j'ai bien fait !

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