Ce que le synopsis nous dit :
Dans le monde conventionnel des ours, il est mal vu de se lier d’amitié avec une souris. Et pourtant, Ernest, gros ours marginal, clown et musicien, va accueillir chez lui la petite Célestine, une orpheline qui a fui le monde souterrain des rongeurs. Ces deux solitaires vont se soutenir et se réconforter, et bousculer ainsi l’ordre établi.
Ce que j’en pense :
Daniel Pennac aux dialogues, Thomas Fersen aux paroles ou encore Lambert Wilson à la voix, quel casting sonore hors du commun ! D’ailleurs la bande originale se réécoute avec plaisir.
Mais le visuel n’est pas en reste, avec de magnifiques aquarelles qui renouent complètement avec le dessin animé “à l’ancienne”. Un pur régal. Les deux se marient très bien, avec un réel travail sur le mélange des sons et des couleurs. Des sons graves et doux, sobres et subtiles, qui dansent au rythme des coups de pinceau. J’ai en particulier apprécié les nombreuses utilisations du basson en solo ou allié au piano et violon. Sans oublier le violoncelle... L’intégration de ces arts dans le conte est un vrai délice.
Quand à l’histoire, ce n’est peut être pas son originalité que l’on retiendra, mais elle prête souvent au sourire.
Conclusion :
La douceur du miel sur grand écran
A voir si vous voulez en savoir plus sur :
- les agents de police
- les chamallows
- les parapluies
- les moineaux
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