Ce que j’en pense :
Voici une seconde (re)lecture dans le cadre du challenge Rupestre Fiction. Ayant déjà entamé la série il y a quelques années, mais m’étant arrêtée en cours, je me suis dit que tant qu’à faire de s’y replonger autant repartir de zéro. Et pour la seconde fois je comprends le succès de cette série extrêmement bien écrite. L’auteur a su trouver un juste milieu entre les descriptions méthodiques du quotidien des hommes des cavernes et l’implication d’une dynamique spirituelle et sociale très forte qui permet de s’attacher aux personnages. Certes le ton est plus que modernisé, et le récit bourré d’anachronismes. Jean M. Auel n’hésite pas à prendre des libertés, par exemple en imaginant des rites dont il serait difficile de prouver la véracité, et allant jusqu’à contredire la communauté scientifique en imaginant un possible métissage entre Homo neanderthalensis et Homo sapiens. A noter que toute la base du roman réside entre la cohabitation entre ces deux espèces du genre humain, l’auteur nous proposant même une explication sur la disparation inéluctable de la première, tout en retirant certains jugements de valeurs sur ce qui est “mieux”.
Conclusion :
Un récit passionnant et vecteur de belles valeurs.

- les genres
- la répartition des rôles
- la relativité de la beauté
- l’apprentissage

Un jour faudra que j'y jette un oeil mais les grandes sagas je donne déjà assez avec le Trône de fer en ce moment xD. C'est très gentil de faire le boulot pour moi !
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