Ce que l’éditeur nous dit :
A vingt-cinq ans, Jérémie Rex, boulanger à Arcachon, est entré dans un tableau de Magritte. Là, il a retrouvé pendant quatre minutes trente la femme de sa vie, au temps où elle l'aimait encore... Mais comment recréer le bonheur dans la réalité ?
Ce que j’en pense :
Quelle surprise lorsque j’ai réalisé que Didier Van Cauwelaert était aussi l’auteur du Journal intime d'un arbre, le torchon (digne d’un mauvais élève rendant son travail bâclé et espérant tout juste le moyenne) que j’avais lu l’an dernier. Ici il semble que l’auteur ai un peu plus travaillé son sujet, ce qui permet une lecture plus agréable (on a même envie de terminer le bouquin, incroyable).
Je ne suis toujours pas transcendée ni par le style d’écriture, ni par l’univers, pas plus que par ces personnages qui sonnent faux ; mais comme le texte est (trop ?) court et le sujet intéressant il serait dommage de s’arrêter à cela. Il y a des bonnes idées et surtout La maison des lumières donne envie de s’intéresser de plus prêt à l’oeuvre de Magritte et à la peinture surréaliste en général. Une livre qui donne une ouverture sur le monde mérite forcement un minimum de considération.
Conclusion :
Un auteur qui remonte un peu dans ma considération - et ça c’est sûr cela va illuminer sa journée ;-).
A lire si vous voulez en savoir plus sur :
- les plâtres
- la persévérance
- les expériences
- le règne végétal
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