Ce que le synopsis en dit :
John Carter se déroule sur la planète Barsoom (Mars), peuplée de tribus guerrières et d’extraordinaires créatures. Tiré du premier livre du « Cycle de Mars » d’Edgar Rice Burroughs, le film raconte le fascinant voyage de John Carter, qui se retrouve inexplicablement transporté sur Barsoom, au cœur d’une guerre mystérieuse entre les habitants de la planète. Parmi tous les êtres étranges qui peuplent cet univers, il fera la connaissance de Tars Tarkas et de la captivante princesse Dejah Thoris. Dans ce monde sur le point de disparaître, Carter va découvrir que la survie de Barsoom et de son peuple est entre ses mains…
Ce que j’en pense :
Que faire quand on est en Asie depuis deux mois, et que l’on cherche une activité pour se détendre à moindre effort (parce que les ballades et les visites, c’est bien, mais au bout d’un moment on a juste envie de rester assit sans rien faire) : aller au cinéma ! En Asie (à Canton du moins), cela donne une salle défraichie, où la lumière du couloir reste visible à côté de l’écran durant tout le film, où la séance commence en avance et sans publicités, où l’ouvreuse rallume brusquement la lumière avant même que l’envoi du générique. Et pourtant on est quand même drôlement content en sortant ! Niveau choix : John Carter (dont j’avais juré de ne pas aller le voir lorsque j’étais encore en France), Titanic, ou plein de film en chinois non sous-titrés…
Et finalement John Carter s’en sort plutôt très bien. L’histoire tient presque la route (bon enfin si on fait abstraction de toutes les incohérences et incongruités, suffit de faire preuve d’un peu d’indulgence), les décors sont assez réussi, et ma foi on passe plutôt un bon moment. Le film est un bon mélange entre action, humour et pseudo suspense. Et même l’acteur principal, pourtant un peu trop musclé, s’en sort honnêtement. Je crois même que j’irais voir le second volet.
Conclusion :
Un bon divertissement.
A voir si vous voulez en savoir plus sur :
- Les médaillons
- Les arènes
- Les prisons
- Les transformistes
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