Ce que l’éditeur nous dit :
Vers 1860, pour sauver les élevages de vers à soie contaminés par une épidémie, Hervé Joncour entreprend quatre expéditions au Japon pour acheter des œufs sains. Entre les monts du Vivarais et le Japon, c'est le choc de deux mondes, une histoire d'amour et de guerre, une alchimie merveilleuse qui tisse le roman de fils impalpables. Des voyages longs et dangereux, des amours impossibles qui se poursuivent sans jamais avoir commencé, des personnages de désirs et de passions, le velours d'une voix, la sacralisation d'un tissu magnifique et sensuel, et la lenteur, des saisons et du temps immuable.
Ce que j’en pense :
Une nouvelle d’une cinquantaine de pages, qui se lira vite mais ne s’oubliera pas de si tôt. Difficile de mettre exactement le doigt sur ce qui fait toute la magie de ce livre. Je dirais certainement son écriture, belle bien sûr, mais surtout bourrée de second degré derrière une apparence très minutieuse et spécifique. L’histoire extravagante d’un homme simple, voilà qui pourrait résumer le contenu, sans pour autant ne rien en dire vraiment. Pour cela, il va vous falloir le lire.
Conclusion :
Une bien jolie nouvelle.
A lire si vous voulez en savoir plus sur :
les oiseaux
les correspondances
les traductions
le lac Baïkal
J'en garde un excellent souvenir, et comme tu le dis très justement, il ne s'oublie pas ce livre.
RépondreSupprimerTout à fait...
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