Ce que l’éditeur nous dit :
Consciousness broke through him as if freed from the grip of underwater reeds in a current, pulled upwards from oblivion to the alarming clarity of the surface. He pulled open his eyes to a landscape of white ridges amidst shadowy canyons. He made no attempt to move. He was lying on his stomach, his arms by his sides, legs bunched up towards his torso as if some forward momentum had been exhausted and deposited him in that position. He blinked, feeling the brush of his eyelashes against cotton. Lire la suite ici.
Ce que j’en pense :
Décidément, la langue anglaise recèle encore bien des merveilles à découvrir. Vecteur de communication international dans les entreprises comme dans (un trop grand?) nombre de médias, sa simplicité apparente d’apprentissage laisse parfois oublier toute la richesse de son vocabulaire. C’est ce que j’ai pu apprécier à lecture de cette première nouvelle éditée d’Alan Goudie, auteur écossais à la plume très imagée, au bout de laquelle je ne serais jamais parvenue sans quelques consultations d’un dictionnaire. Si c’est en temps normal un recours que j’évite tant que possible, je serais ici probablement passée à côté de quelque chose si je ne l’avais pas fait. Car c’est dans la précision des mots que réside le charme de cette nouvelle, qui nous fait suivre son personnage principal à la manière d’une caméra dont le champs s’élargirait progressivement. Tour à tour intrigante, amusante, et surtout poignante, si l’histoire narrée ne marque pas par son originalité elle reste très plaisante à lire, ne serait-ce que pour la palette d’émotions qui s’en dégage.
Conclusion :
Un auteur que je serais curieuse de lire à nouveau.
A lire si vous voulez en savoir plus sur :
- les canapés
- les historiques d’appel
- les parapluies
- les pas feutrés
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