Ce que le synopsis nous dit :
Un conte qui se déroule à la Nouvelle-Orléans, dans le légendaire quartier français, où vit une jeune fille nommée Tiana.
Ce que j’en pense :
Dans la Princesse et la grenouille, on trouve : des clichés (des gentils innocents et des méchants pas beaux), une histoire prévisible du début à la fin (oh non, le méchant dupe le gentil), une fille et un garçon qui décident de se marier alors qu’il ce connaissent depuis deux jours (dont une journée à se détester et une pour apprendre à se connaître)… Et pourtant on sort de la séance avec le sourire aux lèvres, magique.
Les studios ont pris le parti de ressortir ces ingrédients, parfois délaissés, qui ont fait leur succès. Ici pas d’impression d’effets spéciaux, mais celle de vrais dessins. L’humour s’appuie pour beaucoup sur les situations absurdes et les jeux d’expression. Et bien sûr, le film commence par une chanson interprétée par l’héroïne et se termine par un « ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants. Nul doute que Tiana sera bientôt présente sur le « char des princesses » à Disneyland Paris…
Mais l’originalité est aussi au rendez-vous. En basant leur intrigue à la Nouvelle Orléans, Ron Clements et John Musker nous offrent la première princesse noire Disney, mais surtout toute une ribambelle d’accents (en version originale tout du moins). Magnifique, tout comme l’affiche du film.
J’attends maintenant avec impatiente de pouvoir écrire un article sur le prochain volume.
En conclusion :
Un petit plaisir nostalgique pour les grands et la certitude de donner le sourire aux plus petits (pour que les femmes de demain aussi croient au prince charmant).
A voir si vous voulez en savoir plus sur :
- les grenouilles
- le mucus
- le jazz
- la restauration
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